A Avallon, à Dijon et à Strasbourg, des enfants et des adolescents arrivés d’Ukraine commencent à trouver leurs marques en classe. Les unités pédagogiques pour élèves allophones nouvellement arrivés, placées sous le feu des projecteurs avec l’afflux, en un mois, de quelque 9 000 jeunes en âge d’être scolarisés, sont mises à contribution, sous des formes différentes selon les contextes et les âges.
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