L’emprisonnement de quelques acteurs survivants d’une violence multilatérale, dans laquelle avait sombré toute la société italienne dans les années 1970, y compris l’appareil d’Etat, serait une issue inimaginable et ne guérirait pas les dommages de l’histoire, s’indignent, dans une tribune au « Monde », six intellectuels et universitaires.
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