L’Economiste
• Vitesse de croisière pour la bataille de l’eau. Le programme prévisionnel des marchés du ministère en charge de l’eau renseigne sur l’ampleur des projets à lancer en 2021: construction de 8 nouveaux ouvrages et des études pour 7 autres. L’ensemble des marchés réserve une part de 30% aux PME nationales, aux auto-entrepreneurs et aux coopératives ou leurs groupements. Ces bénéficiaires ont l’exclusivité des marchés pour les études portant sur les plans topographiques, parcellaires et l’expropriation.
• Textile, aéronautique: difficile reprise à l’export. Les échanges extérieurs n’arrivent pas à décoller. L’année démarre même en baisse. Le repli des importations de biens est plus prononcé que celui des exportations. Les importations ont atteint 74,5 milliards de DH en recul de 7,4% alors que les exportations n’ont cédé que 2,5%, s’établissant ainsi à 49,6 milliards de DH à fin février. La petite bonne nouvelle, dans un contexte marqué par beaucoup d’incertitudes sur l’évolution de la crise sanitaire, vient de l’export où tous les indicateurs ne sont pas au rouge. L’automobile, les phosphates et dérivés, l’électronique et l’électricité ainsi que la branche «Autres extractions minières sont en hausse. Le textile et cuir est sur une baisse du chiffre d’affaires de 17,5%, l’aéronautique de 22,4% et l’agriculture et l’agroalimentaire de 2,2%.
Aujourd’hui Le Maroc
• Le déficit commercial atténué à fin février. La Balance commerciale du Maroc résorbe son écart. Le constat établi au deuxième mois de l’année fait ressortir un allégement du déficit de 15,9%. Une atténuation qui résulte d’une baisse contrastée aussi bien des achats que des ventes du Royaume sur le marché international. Bien que ces deux agrégats aient emprunté des trajectoires baissières à fin décembre, le repli des exportations reste moins important comparé à celui des importations. A cet effet, le taux de couverture affiche une amélioration de 3,3 points grimpant ainsi à 66,5% à fin février. C’est du moins ce que relève l’Office des changes dans ses derniers indicateurs.
• L’INRA communique sur ses nouvelles obtentions végétales au profit des agriculteurs. « Génération Green 2020-2030 » est l’appellation que l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) a décidé d’attribuer à la nouvelle stratégie agricole basée sur deux fondements, à savoir: la priorité à l’être humain et la pérennité du développement agricole. La consolidation des filières agricoles constitue un volet important de la pérennité du développement agricole. A cet égard, l’INRA est sollicité dans son programme de recherche (2020-2030) de développer entre 30 et 50 nouvelles variétés (toutes filières confondues) avec une augmentation du rendement d’au moins 50%. Ces objectifs visent à renforcer la compétitivité des filières, l’adaptation au changement climatique et la gestion durable des ressources naturelles. La création variétale, en tant que vecteur novateur, constitue l’un des leviers importants pour accompagner la nouvelle stratégie agricole Génération Green et contribuer à la réalisation de ses objectifs.
Le Matin
• Les Zones industrielles promises à une grande mue. Une grande enquête sera réalisée sur 114 zones identifiées par le ministère de l’Industrie afin de mener un diagnostic permettant l’amélioration de leurs performances dans le cadre d’un plan général de développement et de valorisation du foncier industriel. Ce projet s’inscrit dans le cadre du partenariat entre l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI), l’Agence MCA-Morocco et le ministère de l’Industrie. Le diagnostic sera effectué à travers la collecte des données et informations sur ces 114 zones situées dans différentes régions du pays, dont 7 dans les provinces du Sud. Les enquêtes porteront sur le niveau de développement socio-économique, environnemental et énergétique des ZI ainsi que sur les enjeux auxquels elles font face au regard de leur fonctionnement, compétitivité, attractivité et de la valorisation de leur foncier industriel.
• Elections 2021: le PJD mobilise ses troupes. Samedi dernier, le conseil national du parti a tenu sa session extraordinaire qui a été consacrée essentiellement à la discussion et l’adoption de deux points essentiels, à savoir le protocole de sélection des futurs candidats qui entreront en lice lors des élections législatives et communales et la procédure de désignation des candidats qui devront participer aux élections professionnelles. Cette session extraordinaire intervient suite à la réunion jeudi et vendredi de la commission des systèmes et des procédures pour discuter et proposer des amendements relatifs aux deux procédures de sélection des candidats. À l’issue de cette session, il a été décidé d’opter pour la sélection des candidats pour les échéances électorales en deux temps. Concrètement, il s’agira d’abord de sélectionner les candidats qui vont représenter le parti aux futures élections. Ensuite il sera question d’accorder des accréditations à ces candidats à travers des commissions et des instances qui seront définies sur le plan régional, provincial et national.
L’Opinion
• Les financements accordés par les banques participatives ont augmenté, en glissement annuel, de 47,5% à plus de 14,36 milliards de dirhams (MMDH) en février 2021, indique Bank Al-Maghrib (BAM). Ces financements se répartissent sur l’immobilier (12,37 MMDH), la consommation (1,01 MMDH), l’équipement (878 millions de dirhams) et la trésorerie (20 millions de dirhams), précise BAM dans un document sur les statistiques monétaires du mois de février 2021. Parallèlement, les engagements des banques participatives se sont élevés à plus de 4,9 MMDH auprès des banques et ce, sous forme principalement de refinancement à travers le produit de « Wakala bil Istithmar » et de dépôts à vue reçus des banques mères.
• Autisme au Maroc: les efforts, en deçà des attentes des familles. Les associations spécialisées évoquent le nombre de 400.000 personnes autistes au Maroc, dont plus de 216.000 enfants qui sont nées avec ce trouble cognitif. L’association “Vaincre l’Autisme” affirme pour sa part que 34 enfants autistes naissent chaque jour au Maroc pour un total de 12.800 naissances chaque année. “Dans la situation actuelle, l’idéal serait que l’Etat puisse mettre en œuvre un programme dédié à l’accompagnement des familles autistes. L’idée est de répertorier ces familles et de les orienter étape par étape”, a suggéré Siham Besri, président de l’association “Attahadi Autisme”, dans un entretien au journal, soulignant l’importance majeure de former des “personnes-ressources qualifiées” et de prévoir des classes dédiées au sein des écoles.
Al Bayane
• Pas de suspension des cours. Le ministère de l’Éducation nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a démenti catégoriquement, samedi, avoir publié un communiqué au sujet de la suspension des cours pour tous les cycles et niveaux, à partir du lundi 5 avril et jusqu’à nouvel ordre. Le ministère réagissait dans une mise au point pour éclairer l’opinion publique au sujet d’un “faux » communiqué attribué au ministère que font circuler certaines personnes. Tous les communiqués du ministère sont publiés via son portail électronique et ses pages officielles sur les réseaux sociaux, a-t-il souligné. “Autre que ces sources mentionnées, n’est que des fake-news”, précise-t-on.
• La Dynastie Alaouite a posé les bases d’un pays émergent et les jalons d’une renaissance civilisationnelle. Depuis sa fondation, la Dynastie Alaouite a consolidé les bases du nouvel État émergent et a posé les jalons d’une renaissance civilisationnelle prospère et stable, ont souligné, samedi à Marrakech, les participants à une conférence placée sous le thème « les débuts de la Dynastie Alaouite au Maroc : histoire, patrimoine et développement ». Lors de cette rencontre, organisée par la Fondation Moulay Ali Cherif Al-Mourrakouchi en partenariat avec la Direction régionale de la culture à Marrakech et la Faculté des Lettres relevant de l’université Cadi Ayyad (UCA), les participants ont relevé que les premiers fondateurs de la Dynastie Alaouite ont prôné une approche distinguée dans la gestion et le développement du pays avec la même sagesse et un zèle patriotique sincère. Libération
• Défaillances: Les entreprises rattrapées par la crise. Si de nombreuses entreprises ont réussi à « échapper » tant bien que mal au dépôt de bilan en fin de l’année écoulée, certaines ont été rattrapées à fin mars dernier pour rejoindre les rangs de celles qui ont mis la clé sous le paillasson. Après une baisse surprise des défaillances d’entreprises au Maroc en 2020, 2.694 entreprises ont fait faillite à fin mars 2021, soit 15% de plus par rapport à la même période un an auparavant, selon Inforisk, spécialiste marocain du renseignement commercial.
Trésor: Besoin de financement estimé à 125,8 MMDH en 2021. Le besoin de financement brut du Trésor devrait s’établir, d’ici la fin de l’année 2021, à 125,8 milliards de dirhams (MMDH), prévoit Attijari Global Research (AGR). Ce besoin comprend le reliquat de financement du déficit budgétaire ainsi que les arriérés du Trésor estimés par la loi de finances (LF-2021) à 57,7 MMDH, et les tombées du Trésor en 2021, hors celles des mois de janvier et février, de 68,1 MMDH, dont 62,6 MMDH intérieures et 5,5 MMDH extérieures, précise AGR dans son récent « Budget Focus ».
Maroc Le Jour
• La Fédération marocaine des éditeurs de journaux (FMEJ) a fêté, vendredi à Tanger, les médias télévisés marocains, en rendant hommage aux directeurs de l’information des chaînes nationales.Cette cérémonie, qui a eu lieu à la Maison de la presse, en marge de la tenue de l’assemblée générale constitutive de la section de la FMEJ dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, intervient en reconnaissance des efforts et des contributions des chaînes de télévision marocaines à la scène médiatique nationale. A cette occasion, des trophées honorifiques ont été remis aux directeurs d’information de la 1ère chaine marocaine (Al Oula), 2M, Medi 1 TV, et de la chaîne de l’information marocaine (M24) de l’Agence Maghreb arabe presse (MAP).
• Rabat: Pas de manifestation sur la voie publique. Les autorités de la wilaya de la région de Rabat-Salé-Kénitra ont annoncé l’interdiction de tout attroupement ou rassemblement sur la voie publique pour éviter toute violation des dispositions de l’état d’urgence sanitaire. Dans un communiqué, la wilaya de la région de Rabat-Salé-Kénitra indique que des publications circulant sur les réseaux sociaux et attribuées à la « Coordination nationale des enseignants contraints à la contractualisation », ont appelé à organiser des formes de manifestations sur la voie publique accompagnées d’un rassemblement national dans la ville de Rabat, mardi 6 et mercredi 7 avril 2021. Les autorités de cette wilaya tiennent à rappeler à tous ceux qui appellent à ce genre de manifestations la nécessité de respecter la décision d’interdiction, en les tenant responsables de tout ce qui pourrait résulter d’actes contrevenant à cette décision.
Al Ittihad Al Ichtiraki
• Le ministère de la justice fait de la dématérialisation des services judiciaires une préoccupation majeure. Le ministre de la justice, Mohamed Ben Abdelkader a affirmé que son département fait de la dématérialisation des services judiciaires une préoccupation majeure. Intervenant à l’occasion du Forum MENA–OCDE, tenu dernièrement par visioconférence, Ben Abdelkader a relevé que cette dématérialisation permet de relever les défis de la continuité et de la régularité dans un contexte de crise pandémique, tout en assurant aux citoyens une sécurité juridique et un accès facile à la justice et aux droits fondamentaux. Cité par un communiqué du ministère de la justice, le responsable gouvernemental a souligné la pertinence stratégique et opérationnelle du schéma directeur de la transformation digitale du système judiciaire marocain, établi par le ministère de la justice.
• Le Maroc 2ème en Afrique en production scientifique sur la transformation digitale. Le Maroc se classe deuxième en Afrique en terme de production scientifique dans le domaine de la transformation digitale, affirme le ministère de l’éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, citant une étude bibliométrique réalisée par le Centre national pour la recherche scientifique et technique (CNRST). Selon cette étude intitulée «Production Scientifique Relative à la Transformation Digitale : Scopus et Web Of Science (2016-2020)», le Maroc se classe honorablement au troisième rang au niveau arabe, derrière l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis et deuxième au niveau africain derrière l’Afrique du Sud, devançant ainsi des pays comme l’Egypte, le Nigeria, le Ghana, la Tunisie, le Kenya et l’Algérie, souligne le ministère dans un communiqué conjoint avec le CNRST.
Al Yaoum Al Maghribi
• Sa Majesté le Roi Mohammed VI a eu dimanche un entretien téléphonique avec Son frère Sa Majesté le Roi Abdallah II Ibn Al Hussein, Souverain du Royaume Hachémite de Jordanie. Cet entretien téléphonique a été l’occasion de rassurer Sa Majesté le Roi de la situation sur la base des données que le Souverain jordanien a partagées avec Sa Majesté le Roi. A cette occasion, le Souverain a réitéré Sa solidarité entière et naturelle avec la Jordanie sœur et le soutien total de Sa Majesté à toutes les décisions prises par Sa Majesté le Roi Abdallah II pour consolider la sécurité et la stabilité.
• Afrique: 5,4 MMDH d’investissements marocains en 2019. Les investissements marocains sur le continent africain sont passés de 907 millions de dirhams (MDH) en 2007 à 5,4 milliards de dirhams (MMDH) en 2019, selon la Direction des études et des prévisions financières (DEPF) relevant du ministère de l’Economie, des finances et de la réforme de l’administration. Constitués essentiellement d’investissements directs en Afrique subsaharienne, ces investissements représentent 47% du total des investissements directs étrangers (IDE) marocains, précise la DEPF dans un « Policy Africa » sur les profils des économies africaines. Les IDE marocains dans la région fluctuent d’une année à l’autre, mais leur part reste toujours élevée dans le total, représentant jusqu’à 92,2% des flux d’IDE sortants en 2010.
Bayane Al Yaoum
• Covid-19: Prolongement au 30 juin prochain des mesures de soutien afférent aux 8 contrats-programmes. Le Comité de veille économique (CVE), réuni vendredi en mode visioconférence, a annoncé que les mesures de soutien afférent aux huit contrats-programmes signés en janvier en faveur de certaines branches d’activités vulnérables, ont été prolongées au 30 juin prochain. Il s’agit, en l’occurrence, des indemnités, des allocations familiales ainsi que l’Assurance maladie obligatoire (AMO) au profit des salariés relevant du secteur du tourisme, de la restauration, des activités des traiteurs et prestataires événementiels, celles des parcs d’attraction et de jeux, des crèches, des salles de sport privées au même titre que le secteur de la presse et des industries culturelles et créatives, précise la même source.
• La justice néozélandaise déboute le « polisario ». La récente décision de la Haute Cour de justice néozélandaise déboutant une action du « polisario » est, à la fois un « revers majeur » pour les séparatistes et leurs partisans et « une autre victoire pour les provinces du sud du Maroc », a souligné le géo-politologue français Aymeric Chauprade. « L’invalidation de la demande des séparatistes par la Haute Cour de Nouvelle-Zélande est un revers majeur pour le ‘polisario’ et ses partisans », a écrit Chauprade dans une chronique publiée, vendredi, par le magazine bimensuel européen « The Parliament Magazine ». L’affaire remonte au 15 mars lorsque la Haute Cour d’Auckland a rendu sa décision à la suite d’une action en justice engagée l’année dernière par deux membres du « polisario » contre le New Zealand Superannuation Fund (NZSF).
Rissalat Al oumma
• Industrie automobile: Inauguration de l’extension de l’usine « NP Morocco » à Mohammedia. Clayens NP Morocco a inauguré, vendredi, l’extension de son unité industrielle à Mohammedia, spécialisée dans la production des pièces métalliques de précision destinées aux secteurs automobile, électrique et électronique, en présence du ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Economie verte et numérique, Moulay Hafid Elalamy. D’un investissement global de 73 millions de dirhams (MDH), cette extension, réalisée par le groupe pendant la période de crise sanitaire, permettra l’augmentation de 70% de la surface de l’usine. Ce projet devra générer un chiffre d’affaires supplémentaire de 120 MDH et 100 emplois, portant la totalité de l’effectif à 550 emplois.
Assahra Al Maghribia
• La jeunesse du Parti démocrate américain invite les investisseurs à s’implanter à Dakhla. Une délégation des Young Democrats of America (YDA), l’aile jeunesse du Parti démocrate des Etats-Unis, a appelé, vendredi depuis la ville de Dakhla, les investisseurs à s’implanter dans cette région « à fort potentiel économique ». « Il existe de nombreuses opportunités pour les investisseurs de venir investir à Dakhla et de partager ces ressources avec l’Afrique », a déclaré à la MAP le président des YDA, Joshua Harris-Till, en visite de quatre jours à Dakhla, sur invitation de la jeunesse du Parti authenticité et modernité (PAM). Pour le chef de la jeunesse du Parti démocrate américain, la reconnaissance par les Etats-Unis de la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara « n’est qu’un premier pas ».
• Programmes « Data-Tika » : Signature d’une convention de partenariat entre la CNDP et l’APEBI. La Commission nationale de contrôle de la protection des données à caractère personnel (CNDP) et la Fédération des technologies de l’information des télécommunications et de l’offshoring (APEBI) ont signé, vendredi à Rabat, une convention de partenariat pour le déploiement de programmes « Data-Tika ». Cette convention a été paraphée par le président de la CNDP, Omar Seghrouchni et le président de la l’APEBI, Amine Zarouk. Les programmes « Data-Tika » permettent d’avancer et de conforter la culture et la dimension opérationnelle de la protection des données à caractère personnel au Maroc et d’accompagner les différents partenaires pour mettre en conformité tous leurs traitements et pour avoir tous les éléments autorisant cette conformité, a-t-il expliqué.
Al Massae
• La Bourse de Casablanca en hausse du 29 mars au 02 avril. La Bourse de Casablanca a clôturé la semaine allant du 29 mars au 02 avril 2021 en hausse, son indice principal le Masi gagnant 0,64% à 11.572,95 points. Le Morocco Stock Index 20 (MSI20), composé des 20 entreprises les plus liquides, a avancé de 0,55% à 943,61 points, et le Madex, indice compact composé des valeurs cotées au continu, de 0,6% à 9.409,03 points. Au volet international, le FTSE CSE Morocco 15 a pris 0,4% à 10.543,47 points et le FTSE Morocco All-Liquid a gagné 0,58% à 9.884,46 points.
Al Ahdath Al Maghribia
• Agriculture: 4,5 MMDH programmés en soutien aux investissements privés en 2021. Une enveloppe de 4,5 milliards de dirhams (MMDH) a été programmée en soutien aux investissements privés dans le secteur agricole au titre de 2021, en hausse de 7% par rapport à l’année écoulée, selon le ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts. Il s’agit d’une “augmentation de 7% par rapport au programme de 2020 (4,2 MMDH), traduisant ainsi la poursuite de l’effort de l’Etat pour le soutien des investissements privés dans le secteur agricole », indique le ministère dans un communiqué sur la réunion du Comité technique du Fonds de Développement Agricole (FDA), tenue le 25 mars dernier. Cette réunion a porté sur les réalisations financières et physiques du FDA au titre de l’exercice 2020 et le programme d’emploi au titre de l’exercice 2021.
Al Alam
• Trois syndicats de l’enseignement en grève nationale lundi. Dans un communiqué, la coordination syndicale composée de la fédération libre de l’enseignement, affiliée à l’UGTM, du syndicat national de l’enseignement, affilié à la FDT, et de la fédération nationale de l’enseignement, affiliée à l’UMT, a annoncé une grève nationale d’avertissement lundi, dans l’objectif de voir mettre en œuvre les accords passés et ouvrir un dialogue fructueux sur les dossiers en suspens. La coordination tripartite a appelé le ministère de l’Éducation nationale, et avec lui le gouvernement, à sauver ce qui reste du taux de la confiance dans l’action institutionnelle, en procédant à la mise en application des accords conclus, ainsi qu’au lancement d’un dialogue sérieux et responsable sur les autres revendications légitimes du personnel de l’éducation.